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Auteur: Apôtre Gilbert FIOGBE
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Jean 12 : 32 » Et moi, quand j’aurai été élevé de la terre, j’attirerai tous les hommes à moi » Qui est ton ennemi ? Qui fait en sorte que tu ne sois pas attiré par Jésus-Christ ? Tu le connais ? C’est mieux de le connaitre puisqu’il n’est pas loin de toi : son nom c’est »toi ». Et après tout, tu invites l’ennemi de tous les hommes, le diable à venir t’aider. Le diable ne vient que relayer ce que nous même nous avons commencé. Le diable, il est celui qui profite de nos faiblesses, de notre désobéissance, de notre distraction ; il profite de notre manque d’amour pour le Seigneur ; il profite de nos péchés. C’est nous qui donnons la clé de notre destruction au diable. Et ainsi notre ennemi c’est nous-mêmes. Dieu, il est à sa place. Sa grâce est à sa place, sa parole est à sa place ; c’est nous qui nous détournons de tout ça pour prendre le chemin sur lequel se trouve le diable. Et il dit : « bon, je ne vous ai pas invités hein, c’est vous-mêmes qui êtes venus. Alors là, de droit, je ferai de vous ce que je veux ». Et il en a profité. Si tu regardes ta vie, elle est telle que ce que tu as permis au diable de faire contre toi. Mon ennemi c’est donc moi ; ton ennemi, c’est toi ; son ennemi, c’est lui ; notre ennemi, c’est nous ; votre ennemi, c’est vous. Dieu, a tracé son chemin ; c’est nous qui allons vers lui ! Regardez ! La mer qui est loin, et pourtant les gens s’y noient. Mais pourquoi les gens tombent parfois dedans et elle les avale ? La mer est tranquille et fait son bruit elle-même. Tu t’imagines que les gens vont là-bas, même à minuit ils y sont toujours ? Ils disent qu’ils font des sacrifices. La mer a ses enfants. La mer a ses parents. Elle a son entreprise. Il y a les esprits de la mer et quand tu y vas, alors là, elle ne se pose plus de question, elle ordonne simplement que tu sois pris en compte et tu comprends ce que c’est que d’être pris en compte par elle : c’est fini pour toi. Mes frères, j’ai une prophétie pour vous, j’ai une parole pour vous : Le succès n’est pas dans la masse. Ce n’est pas les foules, ce n’est pas les moyens, ce n’est pas les dons qu’on a, ce n’est pas la puissance qu’on exerce. Le succès, c’est la capacité à trouver le chemin tracé par Dieu et le suivre jusqu’au bout, quelles qu’en soient les difficultés. Le reste n’est qu’une histoire. L’avenir va décevoir beaucoup de personnes, parce qu’ils ont vu de travers les choses de Dieu. Appeler succès ce que Dieu n’appelle pas succès est un péché. Dieu est Dieu, et personne ne peut servir Dieu sans que Dieu ne se serve de lui. Dieu va se servir de vous pour faire de vous serviteur de Dieu. Et si Dieu se sert de vous, les gens vont vous taxer de tout. Chaque serviteur que Dieu prépare devient une risée des hommes parce qu’il ne fonctionnera pas comme les hommes le veulent. Il n’agira pas selon le goût des hommes ; il ne sera pas quelqu’un de compatible à la vision des hommes ; il est une personne totalement contradictoire ; quand Dieu commence par se servir d’un homme pour faire de lui un serviteur de Dieu, il devient une contradiction.
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